Affiche de mauvais goût et programmation éclectique tapant dans les post-black-metal, pour une soirée dense mais pas vraiment dansante, fallait oser.
Arrivé pour Pensées Nocturnes (pour cause de yoga tsé) dont le Grotesque ne m'aura pas fait mauvaise impression à l'époque dans un genre black-bunglesque mais pas que, j'entre directement dans le bar de Calvaire (super film de genre FFFran-cophone avec Laurent Lucas, Jackie Berroyer, Philippe Naho, et accessoirement Brigitte Lahaie, excusez du peu) pour un set de black-musette-guinguette-fanfare-metal en costumes et maquillages de peau , malheureusement desservi par un son pas terrible... mention honorable cependant pour l'originalité du concept qui n'avait encore pas encore, ou peu, été joué sur scène (trompette et accordéon dans le black, fallait bien s'appeler PN pour oser), à confirmer avec l'achat de leur dernier cédé.
En fait c'est la venue de Zeal & Ardor, le groupe qui buzze même chez Slash, qui aura motivé les moins pandas à se déplacer, pour son concept tout aussi original dont le postulat de base serait que les esclaves se seraient mis à adorer le Cornu plutôt que Jésus. Le projet solo est super convaincant sur disque, et le groupe l'est tout autant sur scène, nous gratifiant même d'une flopée d'excellents titres ne figurant pas sur leur/son tout aussi excellent quoi qu'un peu court "Devil Is Fine" (acheté par la même occasion, avec un pin's, parfois faut arrêter de picoler avant la dernière de trop pour la route).
Arrivé pour Pensées Nocturnes (pour cause de yoga tsé) dont le Grotesque ne m'aura pas fait mauvaise impression à l'époque dans un genre black-bunglesque mais pas que, j'entre directement dans le bar de Calvaire (super film de genre FFFran-cophone avec Laurent Lucas, Jackie Berroyer, Philippe Naho, et accessoirement Brigitte Lahaie, excusez du peu) pour un set de black-musette-guinguette-fanfare-metal en costumes et maquillages de peau , malheureusement desservi par un son pas terrible... mention honorable cependant pour l'originalité du concept qui n'avait encore pas encore, ou peu, été joué sur scène (trompette et accordéon dans le black, fallait bien s'appeler PN pour oser), à confirmer avec l'achat de leur dernier cédé.
En fait c'est la venue de Zeal & Ardor, le groupe qui buzze même chez Slash, qui aura motivé les moins pandas à se déplacer, pour son concept tout aussi original dont le postulat de base serait que les esclaves se seraient mis à adorer le Cornu plutôt que Jésus. Le projet solo est super convaincant sur disque, et le groupe l'est tout autant sur scène, nous gratifiant même d'une flopée d'excellents titres ne figurant pas sur leur/son tout aussi excellent quoi qu'un peu court "Devil Is Fine" (acheté par la même occasion, avec un pin's, parfois faut arrêter de picoler avant la dernière de trop pour la route).
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