Pas d'affiche pour le concert, comme c'est souvent le gars pour les "gros" groupes, et c'est dommage...
Pour la première partie, Dear Reader quatuor sud-afrinaco-new-yorko-sardo-russe ?!?!) résident à Berlin nous propose une pop for bien chantée avec beaucoup de claviers, de belles voix, un genre de violoncelle électrique, une batterie et des costumes assez improbables, mais c'est pas mal (quoi qu'un peu mou sur la longueur).
Warpaint ont fait du chemin depuis leur premier EP, et si j'avais été dérouté par la direction plus "electro" prise avec leur album éponyme et leur concert au Trabendo, leur dernier disque (Heads Up) m'avait bien réconcilié avec les 4 californiennes. Par contre entre le Trabendo, Rock En Seine et le concert d'hier, toujours le même problème sur scène: leur indolence (comme dans mollesse et nonchalence, oui) noyée dans les effets peine à convaincre. Je suis tout de même reparti avec un 7 pouces et la setlist (et j'aurais bien chopé leur 2e album, éponyme donc, si il avait été dispo), ainsi qu'avec ma dose de frustration.
PS: même pintée au blanc+eau gazeuse, en pantalon de pyjama+bottine et gilet de mamie+tish de son propre groupe, la bassiste reste la femme de ma vie que je n'aurais jamais.
Pour la première partie, Dear Reader quatuor sud-afrinaco-new-yorko-sardo-russe ?!?!) résident à Berlin nous propose une pop for bien chantée avec beaucoup de claviers, de belles voix, un genre de violoncelle électrique, une batterie et des costumes assez improbables, mais c'est pas mal (quoi qu'un peu mou sur la longueur).
Warpaint ont fait du chemin depuis leur premier EP, et si j'avais été dérouté par la direction plus "electro" prise avec leur album éponyme et leur concert au Trabendo, leur dernier disque (Heads Up) m'avait bien réconcilié avec les 4 californiennes. Par contre entre le Trabendo, Rock En Seine et le concert d'hier, toujours le même problème sur scène: leur indolence (comme dans mollesse et nonchalence, oui) noyée dans les effets peine à convaincre. Je suis tout de même reparti avec un 7 pouces et la setlist (et j'aurais bien chopé leur 2e album, éponyme donc, si il avait été dispo), ainsi qu'avec ma dose de frustration.
PS: même pintée au blanc+eau gazeuse, en pantalon de pyjama+bottine et gilet de mamie+tish de son propre groupe, la bassiste reste la femme de ma vie que je n'aurais jamais.
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