Toujours un plaisir de revenir aux orgas EVT?EVL!, d'autant plus lorsqu'il s'agit de retrouver les splendides One Lick Less (merci Basile pour l'invite), et le fort talentueux Louis Jucker et son projet Gravels, surtout dans un lieu tel que le Centre Culturel Suisse.
C'est d'abord Louis Jucker qui à l'issue du concert d'Autisti m'avait chauffé sur le vernissage du premier disque de son coffret L'Altro Mondo, et l'ajout de One Lick Less en ouverture a définitivement fini de me convaincre de me rendre au CCS.
Les mots finissent par me manquer pour parler des prestations de One Lick Less, c'est toujours la grande classe (celle de l'élégance), dans ce style si particulier qui est le leur: encore un super moment, avec malgré tout la confirmation que je sens moins leur morceau à la guitare que ceux au pedal-steel (question d'habitude sans doute).
Le cabinet de curiosité dans lequel évoluent Louis Jucker et son acolyte de Gravels mérite à lui seul le coup d'oeil, et ce qu'en font les deux suisses confine au génie: voix, guitares, bandes, micro-contacts, instruments jouets (ou pas), et j'en passe et des plus obscures pour le béotien que je suis grâce auxquels Gravels nous offre une superbe prestation intimiste et pas dénuée d'humour, qui aux dires de Louis lui-même reprend "à 3 vaches près" le contenu de son fameux coffret, que cette fois je ne me serais pas privé d'acheter. Merci tout le monde c'était super (comme cela a été maintes fois rappelé pendant la soirée).
C'est d'abord Louis Jucker qui à l'issue du concert d'Autisti m'avait chauffé sur le vernissage du premier disque de son coffret L'Altro Mondo, et l'ajout de One Lick Less en ouverture a définitivement fini de me convaincre de me rendre au CCS.
Les mots finissent par me manquer pour parler des prestations de One Lick Less, c'est toujours la grande classe (celle de l'élégance), dans ce style si particulier qui est le leur: encore un super moment, avec malgré tout la confirmation que je sens moins leur morceau à la guitare que ceux au pedal-steel (question d'habitude sans doute).
Le cabinet de curiosité dans lequel évoluent Louis Jucker et son acolyte de Gravels mérite à lui seul le coup d'oeil, et ce qu'en font les deux suisses confine au génie: voix, guitares, bandes, micro-contacts, instruments jouets (ou pas), et j'en passe et des plus obscures pour le béotien que je suis grâce auxquels Gravels nous offre une superbe prestation intimiste et pas dénuée d'humour, qui aux dires de Louis lui-même reprend "à 3 vaches près" le contenu de son fameux coffret, que cette fois je ne me serais pas privé d'acheter. Merci tout le monde c'était super (comme cela a été maintes fois rappelé pendant la soirée).